lundi 30 mai 2016

L'API met à l'honneur : la section Vanvéenne de Lire et faire lire !

Le plaisir de la lecture pour les enfants par des retraités bénévoles
Chers parents,

Nous profitons de notre fête du livre pour enfants du samedi 4 juin de 10h à 17h, pour remercier tous les retraités bénévoles de Vanves, qui œuvrent dans nos écoles pour le plus grand plaisir de lire, plaisir de partager avec nos enfants. 

Lire et faire lire est un programme de développement du plaisir de la lecture et de la solidarité intergénérationnelle en direction des enfants fréquentant les écoles primaires et autres structures éducatives (centres de loisirs, crèches, bibliothèques..).

A la demande de l’enseignant, ou animateur, et en cohérence avec le projet d’établissement et les pratiques pédagogiques, des bénévoles de plus de 50 ans offrent une partie de leur temps libre aux enfants pour stimuler leur goût de la lecture et favoriser leur approche de la littérature. 
Des séances de lecture sont ainsi organisées en petit groupe, une ou plusieurs fois par semaine, durant toute l’année scolaire, dans une démarche axée sur le plaisir de lire et la rencontre entre les générations.

Lire et faire lire poursuit deux objectifs complémentaires :

Un objectif éducatif et culturel qui s’inscrit dans les priorités relatives au développement de la lecture et de la maîtrise de la langue du Ministère de l’Education nationale, participe à la promotion de la littérature de jeunesse auprès des enfants et à la découverte de notre patrimoine littéraire.

Un objectif d’échange intergénérationnel destiné à favoriser la rencontre et le dialogue entre des enfants et des retraités.

MERCI à Arlette Gayou, référente à Vanves de l'association Lire et Faire Lire et toute son équipe !

Venez les rencontrer samedi !

Nathalie, Patrick, France, Philippine, Mohammed, Céline, Rabyâ, Guylaine, Cédric, Marion, Yousra, Elisabeth, Gilles, Hélène, Arnaud, Frédéric, Emmanuel,




jeudi 26 mai 2016

Vente de livres neufs à 80 centimes le 4 Juin à Vanves avec Lire c'est Partir

Chers Parents,

Nous sommes très heureux que l'association Lire c'est partir soit présente, le 4 juin, de 10 heures à 14 heures, à la salle La Palestre, à notre première fête du livre à Vanves organisée par l'API (Association de Parents Indépendants). 
Vincent Safrat a créé une maison d’édition qui vend des millions de livres pour enfants à 80 centimes en dehors du marché du livre traditionnel. Pour mieux comprendre ce succès, nous vous partageons cette vidéo :

La preuve, avec les témoignages des enfants :


Rendez-vous tous au stand Lire c'est partir
le samedi 4 juin de 10h à 14h à La Palestre à Vanves !

Nathalie, Patrick, France, Philippine, Mohammed, Céline, Rabyâ, Guylaine, Cédric, Marion, Yousra, Elisabeth, Gilles, Hélène, Arnaud, Frédéric, Emmanuel,


jeudi 19 mai 2016

Solidaires avec les parents soumis à la commission de dérogation !

Chers Parents,

Toute l'équipe API est SOLIDAIRE avec les nombreux parents qui sont soumis à la commission de dérogation qui aura lieu le 24 mai 2016. 

En effet, beaucoup de parents touchés par le déclassement de leurs rues du secteur Cabourg où ils habitent doivent se soumettre à cette commission pour simplement espérer que : 
- leurs enfants puissent poursuivre leurs scolarités de la GS au CP à l'élémentaire Cabourg,
- leurs enfants ne perdent pas leurs repaires en changeant de force d'établissement,
- leurs enfants ne perdent pas leurs copains et copines pour la rentrée 2016,
- la distance domicile - école ne s'allonge pas.

En effet, pour anticiper la hausse d'effectif de ce groupe scolaire suite aux prévisions de livraisons immobilières dans son secteur et favoriser l'arrivée de nouveaux Vanvéens, la carte scolaire a été récemment redessinée. 
=> La conséquence est le déclassement de plusieurs rues du secteur Cabourg et l'obligation de constituer une demande pour poursuivre sa scolarité à Cabourg.

Le témoignage de cette famille décrit bien l'inquiétude de toutes ces familles dont nous sommes SOLIDAIRES :




L’EFFET CABOURG SUR LA CARTE SCOLAIRE DE VANVES : « C’est notre quartier pour aller voter, mais plus pour l’école de nos enfants ! »

« Nous habitons rue Ernest Laval qui était jusqu’à présent sectorisé à l’école Cabourg. Notre fille aîné qui vient d’entrer au collége a fait toute sa scolarité à l’école élémentaire Cabourg et a vécu les travaux de transformation de l’école du centre avec les classes installées dans des pré-fabriqués à côté du lycée Michelet. Sa sœur est dans la grande section maternelle à Cabourg et elle risque de se retrouver à l’école maternelle Marceau lorsqu’elle rentrera en CM1 à deux ans du collège. Alors qu’elle est à 5 mn de Cabourg, elle va se retrouver à 10 mn de Marceau avec une rue Jean Bleuzen très circulante, dont les trottoirs sont, par endroits, étroits, avec un seul feu rouge au niveau de la boulangerie pour traverser. Et on le sait d’autant plus que notre fille ainée suit des cours de danse au conservatoire, et avant soin installation dans le bâtiment ODE, elle allait suivre ses cours à Marceau, dans les sous-sols. On a apprécié le changement » explique cette mère de famille qui ne comprend pas : « Marceau, ce n’est pas notre quartier. A pied c’est dangereux et en voiture c’est lmpossible ! Nous avons toutes nos habitudes dans ce quartier de la gare, où nous avons nos repères, notre vie sociale avec nos relations, avec des amis retraités qui peuvent venir chercher note fille à Cabourg lorsqu’on n’est pas là, mais pas à Marceau parce que c’est trop loin. D’ailleurs on votait avant à Marceau et maintenant à la Palestre. Alors c’est notre quartier pour aller voter, mais plus pour nos enfants. On a l’impression que les élus ne tiennent pas compte des conséquences » ajoute t-elle
LES ENFANTS VARIABLE D’AJUSTEMENT
« On comprend l’argument du maire avec ses nouvelles habitations qui vont faire venir de nouvelles familles que la ville doit bien accueillir, ce est tout à fait louable, et nous y adhérons. Mais pas le raisonnement : Pourquoi les familles qui habitent là depuis longtemps doivent en faire les frais. Et elles sont nombreux dans le quartier, cinq dans mon immeuble à être concerné. Certaines n’en dorment plus la nuit ! » ajoute une autre mére de famille. « C’est une vision administrative des choses. D’autant plus que 30 à 35% des effectifs de cette école Cabourg sont des dérogations accordées à des familles qui avaient leurs enfants dans d’autres écoles ! Et si on commençait par leur demande de mettre leur enfant dans l’école la plus proche de leur domicile, nous pourrions rester à Cabourg ? » explique t-elle en faisant état de ses familles qui sont préoccupées parce qu’ils ont des enfants en maternelle. « Il y a une incompréhension et vraiment une impression que nos enfants sont une variable d’ajustement pour l’administration et l’Education Nationale ».
INCIDENCE SUR L’AFFECTATION AU COLLEGE
Ces familles ont eu une première réponse lors du dernier conseil municipal qui a voté cette modification de la carte scolaire autour du groupe scolaire Cabourg : Solliciter une dérogation auprès de la commission où siège les directeurs et directrices d'écoles de Vanves. « En tenant compte de votre place dans la carte scolaire et l'effectif des écoles, ils vous accorderont ou pas le droit de rester à Cabourg. C'est pour cela, que d'expérience, nous sommes très vigilant sur ce sujet et nous tenons à informer les parents bien avant. D'expérience, on vous présente cette commission comme une simple formalité et quand le verdict tombe en juin, vous n'avez aucun recours. Vous devez suivre l'affectation » indique un parent d’élève sur le site Internet de l'API . « Et lorsqu'un parent reçoit un refus, je peux vous dire que l'on se sent bien seul, car la réponse est sans appel. On vous présente la commission comme une simple formalité – comme ce fut le cas au conseil municipal - et ensuite quand la sentence tombe, il est trop tard, on n'a aucun recour : « La décision est collégiale ».C'est à dire que personne n'est responsable de la réponse »ajoute t-ilAinsi l’API comme la FCPE se sont fortement mobilisé sur cette question. D’autant plus que plusieurs familles les ont saisis pour demander de l'aide sur le sujet « car elles ont réalisés qu'ils n'étaient plus dans le secteur de l'école Cabourg » ? Autre source d’inquiétude des parents : l'incidence que cette nouvelle carte engendrera sur l'affectation au collège
Suite aux retards de livraisons, nous espérons que les familles obtiendront gains de causes pour la rentrée 2016.
Nathalie, Patrick, France, Philippine, Mohammed, Céline, Rabyâ, Guylaine, Cédric, Marion, Yousra, Elisabeth, Gilles, Hélène, Arnaud, Frédéric, Emmanuel,



mardi 10 mai 2016

Le manège est de retour : Place de la République

Le manège Place de la République, 
devant l'église Saint Rémy est de retour. 

Hélicoptère, avion, camion, voiture, navette spatiale...
il est prêt à accueillir nos enfants !

Nouveauté : Un petit stand Snack
Tournez, tournez...

Nathalie, Patrick, France, Philippine, Mohammed, Céline, Rabyâ, Guylaine, Cédric, Marion, Yousra, Elisabeth, Gilles, Hélène, Arnaud, Frédéric, Emmanuel,

vendredi 6 mai 2016

Réunion avec Xavière Martin du 17/03/2016

L'API, représentée par son président Julien Trouvé et Séverine Edou, a rencontré le 17 mars dernier la nouvelle adjointe au maire à l'Education Xavière Martin.

- ATSEM : Comme annoncé, les effectifs ne bougeront pas en septembre 2016. La charte des ATSEM va être retravaillée (la 1ère datait de 2009) pour une mise en conformité avec les nouveaux rythmes scolaires. La Mairie essaye de recruter en priorité des Atsem avec CAP. Nous demandons la possibilité de proposer une VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) aux Atsem qui n’ont pas le CAP. Xavière Martin va étudier la question mais nous informe que la Mairie finance déjà 2 formations BPGEPS/an (Brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport) pour les animateurs, cela a un coût : 6000€/formation. - Le TAS : Il en sera question au copil. Il s’agit bien d’études surveillées et non d’études dirigées. Les recrutements sont stabilisés. Des améliorations ont été perçues localement et nous sommes invités à faire remonter les difficultés qui subsisteraient. D’une manière générale, Mme MARTIN se dit disponible pour les parents d’élèves, y compris pour préparer les conseils d’école en amont. 

- ANIMATEURS : Nous demandons que les règles de turn-over des équipes nous soient reprécisées. A ce jour, Mme MARTIN ne les connaît pas. Elle convient qu’il faut que nous soyons informés des motifs de non respect de ces règles le cas échéant. Nous insistons sur le fait que nous tenons à ce que les élus se préoccupent de la gestion des RH. Il est important que les animateurs connaissent les règles du jeu pour ne pas avoir le sentiment qu’ils peuvent subir des décisions arbitraires. Il en va de leur investissement à moyen et plus long terme dans une équipe, de leur implication dans la définition d’un projet pédagogique et donc de l’intérêt de nos enfants. Pour ce qui est de la fidélisation des personnels, M. le Maire vient d’annoncer 22 propositions de titularisation pour des animateurs vacataires. Là encore, une charte a été élaborée avec les animateurs (notamment sur des principes de bonne tenue, langage, comportement etc.) 

- SECURITE : Nous faisons part à X.M. de la préoccupation de l’API au sujet des mesures de sécurité prises dans le cadre du plan d’urgence. Le risque encouru est de casser le lien ténu entre les parents et le système scolaire. Mais aussi de nuire au lien social entre les parents, la scolarisation de l’enfant étant un moment où le parent devient vanvéen à part entière et sympathise avec ses voisins (et ceci ne se fait pas sur le trottoir !). X. M. nous rappelle que le Maire suit les recommandations du Préfet. Nous insistons sur l’absurdité de ces mesures au regard de la nature du risque terroriste et sur les incohérences du dispositif (accès aux locaux sans contrôle le soir pour les associations). Comme M. le Maire dans la réponse à notre courrier, Mme MARTIN convient avec nous que ces mesures n’empêcheraient rien si par malheur un attentat devait se produire. Il s’agit donc bien d’une mesure parapluie pour se couvrir en cas d’incident. La suppression des manifestations dans les écoles est également préjudiciable aux relations Parents/Enfants/Ecole et entretient un climat néfaste anxiogène. Nous savons tous que le risque zéro n’existe pas. M. le Maire a indiqué dans un courrier aux directeurs d’école que leur responsabilité serait engagée, certains ont fait le choix de ne rien organiser cette année. Nous indiquons à cette occasion qu’il est aussi de la responsabilité d’un parent de choisir d’amener ou non son enfant à ce type de manifestation en pleine connaissance du contexte et du risque encouru. X. Martin n’était pas informée de la façon dont allaient se passer les fêtes de fin d’année dans les écoles, si ce n’est la représentation Théâtre de l’école Fourestier, où les parents seront invités et reçus avec un ticket. S. Edou insiste également sur le fait que ces mesures drastiques ne sont pas appliquées aux collèges et lycée St Ex et Michelet, pourtant les enfants sont les mêmes, juste un peu plus grands et seront aussi démunis s’il se passe quoi que ce soit dans leur établissement…. Idem pour les crèches qui ne sont sécurisées que par digicode. A l’heure actuelle, les mesures de sécurité sont applicables jusqu’en mai, probablement prolongées jusqu’à la fin de l’année scolaire. J. Trouvé souhaite être informé rapidement des mesures prises pour la rentrée scolaire 2016, particulièrement pour la rentrée des petites sections. Nous n’imaginons pas une seule seconde que les enfants soient laissés à la porte de l’école, confié à un inconnu au motif de sa sécurité ! La sécurité affective doit primer sur ces mesures qui ne sont d’aucun bénéfice pour la sécurité physique ! X. Martin s’est étonnée de nos revendications sur la sécurité, le sujet n’ayant pas été abordé lors de son rv avec la FCPE. Nous insistons sur le fait que ce sont les parents qui nous ont sollicités à ce sujet. 

- RESTAURATION : Xavière Martin nous informe des nouvelles règles de fonctionnement avec Elior et nous assure de sa vigilance quant à la qualité des prestations. Les menus sont pré-validés par la nutritionniste de la mairie et ellemême. La commission valide les menus. Les problèmes sont remontés à Elior en amont, ceux-ci doivent apporter des réponses précises. Le changement de cuisine centrale devrait améliorer la qualité. 

- REGROUPEMENTS Centre Loisirs Mater et Elem : nous demandons le regroupement des centres de loisirs pendant les vacances. Il est parfois très compliqué de déposer ses enfants dans 2 centres différents pouvant être à l’opposé l’un de l’autre. X. Martin nous explique que la mairie est obligée de tenir compte des travaux effectués dans les écoles (cf travaux Elémentaire Marceau prévus l’été prochain), ainsi que gérer les problèmes des équipes (services entretien et satellites) qui partent en vacances. Elle nous informe également que la mairie a constaté une baisse régulière de la fréquentation des centres depuis plusieurs années.